
Face à la mer
visage entre les mains
tu regardes les orphies
tirées en rang
hors de l’eau
lames souples
que le pêcheur éventre
rouges
jetées sur le rocher
La ligne flotte sur les vagues
Bouchons dansants
questions
Sphinx
tes yeux d’ardoise
interrogent
l’horizon
les îles
posées sur les brisants sculpteurs d’oiseaux
Tu attends l’équinoxe
Beau chant « d’intérieur »… ah, ces îles, ces voyages.
Merci, Joël!
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Voyages immobiles…
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Les plus beaux, les plus intérieurs.
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bien d’accord,Geneviève
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