
La vie s’écoule hors de toi
Tu devrais prendre ce car Azur Provence
Il t’emmènerait vers Nice
ses corsos fleuris
ses odeurs d’anchois
d’olives et de beignets
Tu contemplerais la mer
si bleue pour ceux qui espèrent
si sombre pour ceux qui s’y noient
En traversant Paris
tu verrais défiler les façades
les baies éclairées
les silhouettes assises sous les hauts plafonds
Autres vies entrevues
ombres énigmatiques
sur les murs des appartements
Le front appuyé contre la vitre
tu surprendrais tes yeux reflétés
d’où tomberaient les écailles des vieux horizons
J’aime beaucoup…
Belle journée Joël
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suffise que je me dise « tu devrais » pour que je ne le fasse pas.
terribles ces injonctions que l’on transporte en nous on ne sait pourquoi
et qui nous clouent dans l’ici.
Bonne journée Joël
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J’aime bien
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Merci, belle journée à toi, Barbara
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Merci Jean-Marc
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Cloué, c’est le mot !
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encore un petit effort alors et on va commencer à apercevoir les premiers stigmates, comme dans la chanson faut qu’ça saigne. (bon je sors )
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Arrête, tu me fais peur ! C’est vraiment la croix et la bannière…
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🙂
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