Aujourd’hui quelques poèmes de mon ami Jean-Marc Étienne (voir l’article du 26 avril)

3 poèmes :
J’apprends à rire sans remords
du tout comme du rien
à vivre, enfin content, le temps qui m’est donné,
pour honorer les dieux de ma joie éclatante et fragile,
comme la fleur qui s’ouvre au soleil arrivant.
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Je suis le résultat incertain d’une mélancolie
entretenue.
L’humour nécessaire à l’inanité profonde
de nos existences
éteindra le désir de reconnaissance,
éternel catalyseur d’ennuis indescriptibles.
Je n’existe qu’à travers ton regard
qui éclaire mes obscurités.
Je ne serais sans toi
qu’attentive indécision.
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Je ne sais qu’épeler ton nom
le dire en son entier me brûlerait la bouche.
Je ne dois qu’épeler ton nom.
Poèmes d’une belle beauté terrienne…
J’aurais aimé boire son vin et l’écouter…
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Je crois en effet que vous(ou tu ?)l’auriez aimé et réciproquement.
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tu peux me tutoyer…
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Je réponds un peu tard, ton commentaire était passé dans les indésirables. Un scandale !
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Pas grave…
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